Jeux Olympiques Paris 2024 : après 3 ans d’annonces, qu’en est-il de la stratégie carbone de l’évènement ?
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Jeux Olympiques Paris 2024 : après 3 ans d’annonces, qu’en est-il de la stratégie carbone de l’évènement ?

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Le 27 juin dernier, à quinze jours des Jeux Olympiques, Paris 2024 présentait les dernières avancées de sa stratégie en matière de contribution à la neutralité carbone. Après son coup de communication raté à la limite du greenwsahing sur sa volonté de réaliser un évènement à contribution positive pour le climat, le COJO (le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques) a revu ses ambitions à la baisse en se fixant l’objectif de diviser par deux l’empreinte carbone de la compétition par rapport à la moyenne des éditions de Londres 2012 et Rio 2016. Dans ce nouvel article, Capitaine Carbone décrypte pour vous la stratégie de Paris 2024 pour réduire l’empreinte carbone de ces prochains Jeux Olympiques et Paralympiques.

La stratégie carbone actuelle du COJO

JO de Paris 2024, anneaux olympiques, célèbre logo symbole des jeux olympiques, devant la façade de la mairie / hôtel de ville de Paris, avec une statue
Image de Florence Piot dans Adobe Stock

Paris 2024 ambitionne de diviser par 2 l’empreinte carbone des Jeux Olympiques par rapport à la moyenne des éditions de Londres 2012 et Rio 2016 à savoir 3,5 millions de tonnes équivalent CO2 (teqCO2). L’édition de Tokyo 2020 est écartée puisque l’événement avait eu lieu en pleine période épidémique de COVID-19 et qu’aucun spectateur étranger n’avait le droit de participer. En effet, un tiers des émissions de GES totales estimées sont liées aux transports des spectateurs.1

Pour atteindre ces objectifs climatiques et environnementaux, Paris 2024 se dote d’une nouvelle approche méthodologique qui marque une rupture avec celle des grands événements sportifs traditionnels. Cette démarche peut être décomposée en 5 grandes étapes : Anticiper, Eviter, Réduire, Compenser et Mobiliser.2

Mesurer les émissions de l’événement scope par scope

Au lieu de se contenter d’un bilan carbone post-événement accompagné de mesures de compensation, le Comité d’organisation des Jeux (COJO) en partenariat avec le Comité pour la transformation écologique ont défini en amont un objectif d’émission à ne pas dépasser ainsi qu’une stratégie pour réduire l’impact carbone avant même que la compétition n’ait démarré.

Les différents modèles pour maîtriser l’impact carbone. ©paris2024.org

Le Comité des Jeux a choisi de prendre en compte toutes les émissions de gaz à effet de serre de l’événement du scope 1 et 2 à savoir les émissions directes, jusqu’au scope 3, les émissions indirectes.

Une manière holistique de réduire ses émissions

Comme l’indique le site internet Paris 2024, des actions de réduction des émissions sont prévues dans tous les pans de l’organisation. Secteur par secteur, voici ce que le Comité pour la transformation écologique des Jeux prévoit de mettre en place ou a déjà mis en place pour réduire l’empreinte carbone de la compétition :

  • Construction : les Jeux de Paris 2024 utiliseront 95 % d’infrastructures temporaires ou existantes pour réduire les émissions de GES liées à la construction de nouveaux sites. La Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) a mis en œuvre des techniques de construction bas-carbone telles que l’utilisation d’ossature en bois, de béton bas carbone et de matériaux recyclés, réduisant les émissions de 30 % par m2 construit au Village des athlètes. Sur l’ensemble du cycle de vie des bâtiments, l’impact carbone est réduit de 47 % par rapport à une opération classique.1
  • Énergie : Enedis a raccordé les sites des Jeux, temporaires et existants, au réseau d’électricité pour minimiser l’utilisation de groupes électrogènes diesel. Ces installations permanentes bénéficieront aux événements futurs pour réduire eux aussi leur empreinte carbone. Enfin, EDF alimentera le réseau en électricité issue des énergies renouvelables (solaire et éolienne), réduisant ainsi les émissions carbone de 80 % par rapport au modèle classique de l’événementiel sportif.1
  • Restauration : l’offre de restauration comprendra deux fois plus de produits végétaux et moitié moins de plastique à usage unique par rapport aux Jeux de Londres 2012. L’approvisionnement local de produits de saison sera également une des consignes majeures de ces Jeux. De cette manière, Paris 2024 devrait lutter contre le gaspillage alimentaire et réduire de 50 % l’impact carbone des 13 millions de repas et snacks qui seront servis pendant les Jeux, démontrant ainsi qu’un autre modèle de restauration événementielle est possible.1
  • Transports : tous les sites de compétition seront desservis par les transports en commun, et les sites d’Île-de-France seront accessibles à vélo grâce à 415 km de pistes cyclables et des services de gardiennage. Paris 2024 mettra également à disposition une flotte de véhicules légers électriques, à hydrogène renouvelable ou hybrides pour la famille olympique et paralympique, en partenariat avec Toyota. Le nombre de véhicules sera aussi réduit d’un tiers par rapport à la moyenne des Jeux précédents grâce à l’optimisation et la mutualisation de leur utilisation.1
  • Aménagement : sur les 6 millions de biens et d’équipements utilisés, 90 % seront réutilisés par les prestataires et partenaires des Jeux pour leur assurer une seconde vie, participant ainsi à une économie circulaire et réduisant l’impact des Jeux.1
  • Numérique : 70 % des équipements seront loués pendant les Jeux et tous les équipements auront une seconde vie assurée. Les applications grand public les plus utilisées seront également éco-conçues et se doteront d’un indice éco-index élevé. 1

Compenser ce qui ne peut être réduit à l’aide de projets de contribution climat

Les projets d’évitement et de captation carbone soutenus par Paris 2024. ©paris2024.org

Malgré toutes ces actions, des émissions de GES persistent et ne peuvent être réduites. Pour compenser ces émissions incompressibles, Paris 2024 suit une nouvelle fois la démarche de contribution à la neutralité carbone en investissant dans des projets de compensation carbone volontaire un peu partout dans le monde en partenariat avec Abatable et EcoAct (Schneider Electric). Ces projets de “contribution climat” ou “d’évitement” devrait à terme compenser 1, 473 millions de tonnes d’équivalent CO2, soit un peu moins de la moitié du total des émissions qu’avaient engendrées les Jeux de Rio en 2016. En France, 600 000 euros financent la séquestration de 14 500 teqCO2 à travers des projets forestiers, notamment une nouvelle forêt en Île-de-France et des repeuplements de forêts dégradées. À l’international, les Jeux de Paris soutiennent des projets certifiés Gold Standard et VCS dans les zones équatoriales pour des systèmes de cuisson, des centrales photovoltaïques et la protection des forêts, totalisant 10,7 millions d’euros pour éviter ou séquestrer 1 458 millions de teqCO2. En plus des émissions de GES évitées ou séquestrées, ces initiatives devraient bénéficier aux communautés ainsi qu’à la biodiversité.3

Nous sommes extrêmement fiers de soutenir les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Notre partenariat permet aux Jeux d’aller au-delà de leurs efforts de réduction des émissions, grâce aux projets climatiques à fort impact que nous avons sélectionnés : des projets de conservation au Guatemala et Kenya, de foyers de cuisson améliorés au Kenya, Nigeria et République démocratique du Congo, et d’énergie solaire photovoltaïque au Sénégal. Cette collaboration illustre la manière dont notre expertise soutient les grandes organisations à naviguer en toute confiance dans le marché volontaire du carbone, en identifiant et facilitant des actions climatiques à fort impact et à forte intégrité. Ensemble, nous partageons avec Paris 2024 la volonté de laisser un héritage durable pour le climat, la nature et les populations.
Photo des témoignages Valerio Magliulo, PDG et cofondateur d’Abatable

Paris 2024 : La médaille d’or du Greenwashing ?

Il est courant pour une entreprise de se voir accuser de greenwashing lorsqu’elle communique autour de ses actions de contribution à la neutralité carbone. Généralement, ces accusations interviennent lorsque cette dernière indique qu’elle entend compenser ses émissions au travers de projets de compensation au fin fond de l’Amazonie alors même qu’elle n’a pas commencé à réduire ses émissions au cœur de sa propre chaîne de valeur. En ce qui concerne les compétitions sportives telles que les Jeux Olympiques et Paralympiques, on reproche généralement au pays hôte de ne pas se soucier de l’héritage des Jeux et ne plus investir dans des projets de compensation après la compétition comme il en était convenu. Pour Paris 2024, les choses ne se sont pas passées de la même manière. Dès le début, c’est en communiquant sur ses objectifs climatiques et environnementaux que le COJO a été accusé de greenwashing. Par la suite, et ce malgré une stratégie carbone rigoureuse saluée et portée par l’ADEME ou même l’Institut de l’économie pour le climat (I4CE), ce sont les actions des sponsors qui ont continué d’entacher la réputation de ces XXXIIIème olympiades.

Mise en contexte d’une communication plus réaliste sur les enjeux environnementaux

Il y a presque trois ans, en 2021, nous nous demandions si la communication relative à la durabilité et l’héritage de ces Jeux n’était que de la poudre aux yeux ou si les engagements avancés reflétaient une réelle volonté d’agir.4

Pour commencer, il est intéressant de souligner qu’au départ, le COJO de Paris 2024 s’est donné toutes les cartes en main pour établir une stratégie carbone efficace en constituant le Comité pour la transformation écologique des Jeux. Présidé par Gilles Boeuf, il est composé de neuf experts rejoints par les représentants de la Ville de Paris, du Ministère des Sports, de la DIJOP, de la Région Ile-de-France, du Département de la Seine-Saint-Denis, de la Métropole du Grand Paris, des Comités Nationaux Olympiques et Paralympiques, de l’ADEME et d’un représentant de la Commission des athlètes de Paris 2024.5

Il y a maintenant six ans, Paris 2024 s’est donné un objectif ambitieux de réduction de l’empreinte carbone des Jeux. À un mois des Jeux et après des années de travail, nous sommes là où nous voulions être avec des émissions carbone réduites et maîtrisées dans tous les pans de l’organisation. Nous sommes fiers de compléter notre engagement pour le climat avec nos partenaires en soutenant des projets d’évitement et de captation carbone en France et à l’international, dans les régions du monde les plus touchées par les conséquences du dérèglement climatique.
Photo des témoignages Tony Estanguet, Président de Paris 2024

Aujourd’hui, le ton est beaucoup moins triomphal. Lorsque monsieur Estanguet affirme que six ans après et à un mois des Jeux “nous sommes là où nous voulions être avec des émissions carbone réduites et maîtrisées dans tous les pans de l’organisation”1, il est important de rappeler qu’il y a 6 ans, les objectifs de réduction de l’empreinte carbone des Jeux étaient beaucoup plus ambitieux que ceux d’aujourd’hui voire même en décalage certain avec la réalité du terrain. Dès 2021 et malgré une volonté sincère de prendre des mesures positives pour le climat, certains experts, journalistes et ONG ont souligné que la communication à ce sujet pouvait parfois être exagérée ou déconnectée de la réalité des impacts environnementaux réels qu’un tel événement pouvait engendrer. Pour faire simple, Paris 2024 a clairement réalisé une campagne de greenwashing en promouvant une édition à contribution positive et même neutre en carbone.

Extrait du rapport “Durabilité et Héritage” ©paris2024.org

En mai 2023, le COJO a donc été contraint de revoir ses ambitions à la baisse. Dès lors, il ne s’agissait plus de réaliser un événement à contribution positive pour le climat”, c’est-à-dire qui capte plus de gaz à effet de serre qu’il n’en émet, mais plutôt de diviser par deux les émissions de gaz à effet de serre générées par la compétition. Benjamin Lévêque, responsable climat et biodiversité du comité d’organisation justifie cette mise à niveau de la manière suivante : “Nous trouvons que ce n’est pas raisonnable scientifiquement et compte tenu de l’urgence”. Pour Benoît Leguet, membre du Comité pour la transformation écologique des Jeux et directeur général de I4CE : “Cela montre au moins que le Comité pour la transformation écologique sert à quelque chose et que nous sommes écoutés”.6 L’objectif de neutralité carbone qui n’a que de sens à l’échelle nationale, voire mondiale, n’a pas non plus été retenu.

Pour en savoir davantage sur les raisons qui ont poussé le Comité des Jeux à écarter toutes allégations de neutralité carbone, nous mettons à disposition cet article qui vous explique tout : En 2023, on ne dit plus “neutre en carbone”.

Des partenaires champions olympiques du greenwashing

Image de william87 dans Adobe Stock

Toute compétition sportive, aussi modeste soit-elle, a besoin de sponsors et de partenaires. De par leur envergure internationale et la densité du programme proposé, les Jeux Olympiques et Paralympiques sont peut-être la compétition sportive qui en aurait le plus besoin. Malheureusement, pour une édition avec de fortes ambitions environnementales, Paris 2024 ne s’est pas associé aux entreprises les plus respectables en matière d’action dans la lutte contre le changement climatique. Dès l’attribution des Jeux de 2024 à la municipalité de Paris en 2017, et l’annonce des partenaires qui allaient aider à l’organisation de cet événement, nous pouvions d’ores et déjà constater que certains sponsors ne seraient pas alignés avec cette volonté de faire des prochains Jeux, un exemple en matière de responsabilité environnementale.

Toyota : un poids lourd des émissions de CO2

Toyota est l’un des plus grands contributeurs mondiaux aux émissions de gaz à effet de serre. En 2022, l’entreprise a été responsable de 1,5 % des émissions mondiales de carbone, soit presque deux fois celles de la France. Contrairement à certains de ses concurrents, Toyota n’a pas pris d’engagement clair pour éliminer progressivement les véhicules à carburant fossile. Étant donné son influence mondiale, il est crucial que Toyota cesse de vendre de nouveaux véhicules à moteur thermique, y compris les hybrides, d’ici 2030. Cependant, l’entreprise est loin de cet objectif. Pire encore, Toyota est devenu l’un des principaux lobbyistes contre les initiatives climatiques, encourageant activement les gouvernements à assouplir les mesures de protection de l’environnement tout en continuant à promouvoir les véhicules à moteur thermique.7

Coca-Cola et sa distribution de boisson pas si responsable

Parmi les actions de réduction et d’évitement des émissions de GES précédemment mentionnées, l’objectif de réduire de moitié l’utilisation de plastiques à usage unique par rapport aux Jeux de Londres 2012 a beaucoup fait parler. En sa qualité de partenaire mondial des Jeux, l’entreprise Coca-Cola, compte écouler plus de 18 millions de boissons, dont 9 millions qui seront vendues aux spectateurs.8 Au travers d’une campagne de communication de plus d’un an, le distributeur explique de quelle manière il entend “révolutionner” la façon de “célébrer la magie des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024” en ne servant aux spectateurs que des gobelets consignés.9

Pour nous les Jeux sont une opportunité d’accélérer notre transformation. On va révolutionner la distribution des boissons pendant les Jeux. Chaque spectateur va être servi dans un gobelet consigné réemployable.
Photo des témoignages Mickaël Vinet Président de Coca-Cola France


Pourtant, Coca-Cola, toujours championne du monde la pollution plastique en 2023, a “oublié” de mentionner que parmi ces gobelets distribués, les 3/4 seront remplis à l’aide de bouteilles en plastique à usage unique soit plus de 6 millions de boissons.

Lire le Modèle de distribution des boissons durant les Jeux de Paris 2024 rendu publique grâce à l’association France Nature Environnement.

C’est réellement un naufrage. C’est vraiment extrêmement décevant. Aujourd’hui avec ces Jeux olympiques, on a vraiment l’occasion de montrer l’exemple, de passer à un autre système, de réduire les emballages à usage unique. Et on voit qu’il n’y a pas les efforts qui ont été faits. Le fait de cacher les bouteilles en plastique et de donner un gobelet, enfin un Ecocup, ça permet à Coca-Cola de faire un greenwashing.
Photo des témoignages Axèle Gibert – Experte déchets à France Nature Environnement (FNE)

Le comité d’organisation des Jeux affirme pour autant que toutes les bouteilles utilisées seront produites à partie de plastique recyclé et qu’elles seront, à hauteur de 100%, récupérées après leur utilisation pour être recyclées. Le COJO assure également que plus de 7 millions de boissons seront distribuées grâce à des fontaines ou bouteilles en verre consignées.

Pour en savoir davantage sur cette enquête, retrouvez l’article d’Axel Roux sur Vakita.fr

Schneider Electric, un habitué de l’éco-blanchiment

Parmi les sponsors à l’image “green” parfois controversée, Schneider Electric se retrouve régulièrement sous le feu des critiques pour ses allégations environnementales. Bien que l’entreprise affiche des engagements ambitieux en matière de durabilité et de réduction des émissions, ses actions ne sont pas toujours à la hauteur de ses déclarations. En 2020, l’association Notre Affaire à Tous a publié un classement sur les 25 sociétés les plus émettrices du CAC 40. Sur ces 25 multinationales françaises dont fait partie Schneider Electric, le rapport indiquait qu’aucune d’entre elles “ne respectait la loi, et notamment les obligations de vigilance climatique”.10 Trois ans plus tard, à Grenoble, plusieurs collectifs environnementaux dénoncent la participation de Schneider Electric au projet pétrolier Eacop de TotalEnergies en Tanzanie et en Ouganda.11 Aujourd’hui Schneider Electric avec EcoAct rejoignent l’aventure Paris 2024 au rang de Supporteur Officiel des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, dans la catégorie “Services de recherche et développement de projets de contribution climatique de tiers”. Cette divergence entre les promesses et les actions soulève des questions sur la véritable portée de ses efforts en matière de responsabilité environnementale.

En tant qu’expert mondial du marché du carbone et du développement de projets, EcoAct, filiale de Schneider Electric, est fier d’accompagner Paris 2024 dans la sélection et le suivi de trois projets de contribution climatique au Sénégal, au Rwanda et au Vietnam. Ces projets permettront non seulement de séquestrer et de réduire les émissions de carbone, mais aussi d’apporter de nombreux co-bénéfices pour les communautés locales en première ligne du changement climatique.
Photo des témoignages Emilie Alberola, Directrice générale d’EcoAct France

Il est important de noter que la politique de compensation des Jeux a été pensée de manière rigoureuse. Paris 2024 a mis en place un programme structuré pour compenser les émissions de carbone inévitables, en partenariat avec EcoAct, un acteur reconnu dans le domaine de la compensation carbone. Ce partenariat vise à financer des projets qui captent et réduisent les émissions de gaz à effet de serre de manière efficace et vérifiable. En s’associant avec EcoAct, Paris 2024 s’assure que les initiatives soutenues respectent les standards internationaux les plus élevés.

À voir dans les semaines qui suivront la compétition si de réels bénéfices et co-bénéfices seront apportés à la lutte contre le réchauffement climatique ainsi qu’aux communautés locales comme le prétend la directrice générale d’EcoAct.

Sources

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