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Le Royaume-Uni donne l’exemple avec la fermeture de sa toute dernière centrale à charbon en activité depuis 53 ans ! Un symbole fort puisque le pays devient le premier du G7 à se passer du charbon et montre sa détermination à atteindre la décarbonation totale de son électricité d’ici 2030 et la neutralité carbone en 2050. Dans un communiqué, le gouvernement travailliste affirme que cette étape “marque la fin d’une ère” et ouvre “un nouvel âge” synonyme de création de nouveaux emplois dans le cadre de son plan sur les énergies vertes.

En Europe, l’Italie projette de stopper sa consommation de charbon en 2025, la France en 2027 et l’Allemagne en 2038 ! De son côté le Canada promet l’arrêt du charbon en 2030, mais le Japon et les Etats-Unis ne donnent pas de date butoir.

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De Londres à Paris, on prend le tunnel sous la Manche pour en savoir plus sur la coopérative carbone lancée officiellement le 10 septembre dernier dans la capitale française et sa métropole. Le site linfodurable.fr sort un article complet sur cette initiative qui a pour objectif de favoriser le financement de la transition écologique par des acteurs du secteur privé. “C’est aussi une corde de plus à notre arc pour arriver à la neutralité carbone en 2050 et compenser les 20 % d’émissions résiduelles incompressibles sur le territoire pour atteindre cet objectif”, explique aux Echos Dan Lert, adjoint à la maire de Paris chargé de la transition écologique. Les entreprises qui investiront dans les projets soutenus par la coopérative obtiendront des crédits carbones pour “compenser” leurs propres émissions carbones. Ces projets concernent aussi bien la rénovation énergétique des bâtiments, que la plantation d’arbres et pourront dépasser les frontières du Grand Paris dans le cas précis de l’agriculture durable.

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La découverte de cette bûche de bois de près de 4000 ans pourrait entraîner des découvertes scientifiques très intéressantes sur le stockage du dioxyde de carbone grâce aux arbres. Cette bûche de cèdre rouge a été retrouvée dans un sol argileux du Québec, et n’avait pas relâché tout son dioxyde de carbone au moment de sa décomposition. L’idée maintenant est de comprendre les paramètres écosystémiques qui ont joué un rôle dans la conservation de sa structure chimique, ce qui serait une véritable avancée pour la recherche sur le stockage du carbone.

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Voilà un exemple d’entreprise engagée que le Capitaine aime mettre en avant. Actu-environnement.com a réalisé un reportage vidéo sur Vincent Raimbault, le fondateur de Muto, une entreprise qui s’occupe de gérer le réemploi des matériaux utilisés pendant un évènement : concert, salon, exposition, etc… Il intervient au moment du démontage, récupère tout ce qui peut l’être et fait aussi marcher un gros réseau d’organismes prêts à reprendre gratuitement ces matériaux en seconde main. Muto garantit aux organisateurs d’évènements une traçabilité du réemploi de leurs éléments, ainsi que les informations qu’ils pourront prendre en compte dans leur bilan carbone.

Reportage Vidéo sur actu-environnement.com